Par Paule Mackrous On représente la plupart du temps la surveillance par une sorte d’anthropomorphisme : c’est l’humain qui surveille l’autre humain par le truchement d’un dispositif. Or, dans leur article « Invisible Surveillance in Visual Arts [1]» (2012), Katherine et David Barnard-Wills démontrent que nous vivons dans une ère de la dataveillance. Celle-ci est définie comme l’« utilisation Lire la suite »